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Pourquoi allier la pratique du babyfoot à des séances de remédiation cognitive ?
Les raisons sont multiples. À une époque où les enfants sont moins actifs, les études démontrent un impact positif du sport sur la santé physique, la santé mentale et le fonctionnement cognitif (Cox, 2016).
Pour résumer, pratiquer une activité sportive :
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Diminue les affections somatiques (problèmes de posture, obésité, circulation sanguine) ;
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Diminue les comportements à risque (tentatives de suicide, dépendances et usages de drogues) ;
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Améliore les habiletés sociales (appartenance sociale, faire face à la victoire/défaite, fairplay) ;
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Améliore le contrôle de soi et la gestion émotionnelle ;
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Diminue le stress ;
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Améliore le fonctionnement cognitif….
Organisation
6 séances de 1 heure, articulées entre le baby-foot et des exercices de remédiation cognitive.
De par sa pratique, la baby-foot fait appel à :
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L’attention sélective et soutenue en modalité visuelle ;
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La vitesse de traitement ;
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La coordination oculomotrice ;
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L’anticipation et prise de décision.
Le petit plus : apprendre aux enfants qu’ils peuvent à chaque instant travailler dans l’optimisation de leur performance même de manière ludique !
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Objectifs principaux :
Optimiser la flexibilité, l'inhibition, la mémoire de travail, l'attention (sélective et soutenue) et la planification.
Développer les habiletés sociales
Travailler la gestion des émotions
L'activité physique influence de manière positive le fonctionnement cognitif